Adam Starkie

clarinette et collaborateur artistique de la direction musicale

©Claire Giraudeau

Adam Starkie est un clarinettiste dédié à la création musicale qui consacre sa carrière à faire entendre la musique d’aujourd’hui. Cette envie l'a conduit à collaborer avec des compositeurs•trices et des ensembles du monde entier.

Sa carrière est marquée par des collaborations avec des ensembles tels que l'Ensemble Linea, Accroche Note, Ensemble Cairn, Les ensembles 2.2, Ensemble Zellig, l'imaginaire, El Perro Andaluz et Ensemble Lemnisacte, avec qui il a créé de nouvelles œuvres lors de festivals et de concerts à travers l'Europe, l'Asie et l'Amérique du Nord.

Adam est également cofondateur et directeur artistique de lovemusic. Ce collectif basé à Strasbourg travaille en étroite collaboration avec une diversité d'artistes pour créer un répertoire représentatif des goûts éclectiques des musiciens qui le composent. En 2023, il a reçu le Prix de Musique de l'Académie Rhénane pour sa contribution à la musique contemporaine.

Sa discographie comprend plastic love de Santiago Díaz Fischer (NEOS), Corps de Raphaël Cendo (the fingerprint), Stillness d'Aurélien Dumont (Odradek), et Articulated Sound Energy de Julien Maluasenna (enmossed).

Adam a étudié avec Dov Goldberg (Psappha Ensemble) et Armand Angster (Accroche Note). Il a obtenu un Bachelor, des diplômes avancés en musique contemporaine et clarinette basse ainsi qu'un master d’interprétation musicale de la Haute École des Arts du Rhin, en plus de son diplôme d'enseignement (Diplôme d’État).

Emiliano Gavito

flûte et adjoint artistique

©Claire Giraudeau

Emiliano est flûtiste, performer et cofondateur de lovemusic, lauréat du Prix Ernst von Siemens pour ensemble 2025. À travers cette plateforme, il promeut et crée de nouveaux répertoires, en concevant des projets qui encouragent un regard renouvelé sur la musique contemporaine. Il s’intéresse particulièrement à l’exploration des instruments et des techniques d’interprétation comme moyens d’expression de thématiques sociales et politiques. Pour lui, la musique nouvelle, en tant qu’art vivant, dépasse l’expérience sonore. Il est convaincu qu’elle doit, comme toute forme d’art contemporain, refléter la société actuelle et être accessible à toutes et tous.

Ces dernières années, il s’est engagé dans des approches théâtrales de la performance musicale, intégrant la voix et le mouvement, en collaboration étroite avec des compositeurs. Son dernier projet, I was wearing my skin unfresh, créé avec le compositeur Finbar Hosie, incarne pleinement cette orientation.

Toujours en quête de nouveaux horizons, Emiliano se produit dans des contextes très variés à travers la France, l’Allemagne, la Suisse, le Royaume-Uni, l’Irlande, le Luxembourg, le Portugal, les Pays-Bas, les États-Unis et le Japon.

Ses nombreuses collaborations avec des artistes issus de disciplines et d’univers esthétiques divers ont nourri une grande ouverture à de nouvelles expériences artistiques. Titulaire du Diplôme d'État (DE) en enseignement artistique spécialisé, il mène également une constante activité pédagogique, auprès d’étudiants en interprétation et en composition, en France comme à l’international.

Passionné depuis toujours par les arts de la scène, Emiliano a suivi, en parallèle de ses études en flûte et musique de chambre, une formation en danse classique et contemporaine, se produisant avec plusieurs compagnies lors de festivals internationaux. Son intérêt pour les liens entre musique, mouvement et théâtre l’a conduit à suivre un parcours interdisciplinaire au Royaume-Uni, enrichissant ainsi sa recherche artistique.

Il est diplômé du Conservatoire de Strasbourg, où il a étudié la flûte, la musique de chambre et les pratiques chorégraphiques. Fasciné par les connexions entre les traditions artistiques historiques et les pratiques contemporaines, il a également obtenu un diplôme en traverso et suivi une formation en danse baroque.

 Emily Yabe

violon - alto

Emily Yabe a obtenu son Bachelor en musique au conservatoire Toho Gauken dans sa ville natale de Tokyo, puis des études en master à la Hochschule für musik Dresden avec des diplômes en musique d'orchestre et un diplôme de soliste avec Ivan Ženatý, qu'elle a terminés en 2012.

Pendant ses études à Tokyo, elle commence à travailler avec des artistes contemporains. En 2002, elle a reçu le prix de la bourse au Darmstädter Ferienkurset. En 2008, elle a reçu le prix spécial de la meilleure interprétation d'une œuvre du XXe siècle au Concours International « Reine Sophie Charlotte » et en 2010 le Prix DAAD. Elle a également été boursière à l'Académie Hellerau pour le théâtre musical expérimental 2010/11.

Emily a participé à des master classes avec Vadim Gluzman, Ulf Hoelscher, Kevork Mardirossian, Miklós Perényi, Benjamin Schmid, Thomas Brandis, Ensemble Modern et ensemble recherche.

Elle a travaillé avec de nombreux artistes et compositeurs contemporains, dont Mark Andre, Saskia Bladt, Adriana Hölszky, Sven-Ingo Koch, György Kurtág, Helmut Lachenmann, Helmut Oehring, Enno Poppe et Manos Tsangaris, et a donné des créations en Europe et en Asie.

Elle s'est produite en soliste à la Biennale de Munich, ECLAT Festival, Tonlagen-Hellerau, SPOR Festival à Aarhus, rainy days-Festival de musiques nouvelles à Luxembourg, au Semperoper (Semper Zwei), au Staatsoper Berlin dans "Abstract Pieces" , au Deutsche Oper dans "Underline" et au Bayerische Staatsoper dans "Tonguecat" du Festival d'Opéra de Munich.

Elle est également membre des ensembles El Perro Andaluz et tooperative.

Céline Papion

cello

© Ogawa Lyu

Céline Papion est une artiste curieuse et polyvalente - violoncelliste, interprète, conceptrice de concerts et directrice artistique. Elle navigue entre la musique ancienne et contemporaine ainsi que le théâtre musical et l'improvisation libre. Son travail et son engagement pour la musique des XXe et XXIe siècles ont été récompensés en 2019 par le prix "Internationale Bodensee-Konferenz" dans la catégorie interprétation de la musique contemporaine.

Céline s'est formée en France auprès de violoncellistes et de professeurs renommés tels que Raphaële Sémésiz, Hélène Dautry, Ophélie Gaillard et Philippe Müller. Elle se rend ensuite en Allemagne, où elle complète sa formation auprès de Francis Gouton et Jean-Guihen Queyras. Pendant ses études, elle a été boursière de la Yehudi Menuhin Foundation Live Music Now. Elle reçoit par la suite d'autres bourses telles que la bourse INITIAL de l'Akademie der Künste Berlin avec le compositeur Yiran Zhao (2021-22), la bourse de l'Institut Goethe (2022) et la bourse du Deutscher Musikrat (2023).



Elle initie, conçoit, interprète et dirige ses propres projets avec un penchant pour les formats expérimentaux et interdisciplinaires, notamment le festival PUSS (2017), OTTO (2018-19) et Sonic Ocean (2022).


L'échange continu avec les compositeurs et les artistes contemporains joue également un rôle important. Céline travaille en étroite collaboration avec des compositeurs tels que I-lly Cheng, Oliver S. Frick, Toshio Hosokawa, Steffen Krebber, Joseph Michaels et Yiran Zhao. Elle est membre du collectif lovemusic, du Reactive Ensemble, de l'Ensemble il capriccio et du Stiftsbarock Stuttgart. Elle est membre du conseil d'administration du Stuttgart Collective for Current Music (Stuttgarter Kollektiv für aktuelle Musik) et codirectrice de l'ensemble d'improvisation libre Open_Music. 

Céline a été invitée sur des scènes et dans des festivals internationaux, notamment Musik der Jahrhunderte Stuttgart, Theater Junges Ensemble Stuttgart, Theater Rampe Stuttgart, le "Musiktheaterformen" à la Gare du Nord de Bâle, Sinuston Festival Magdeburg, EinTanzHaus Mannheim, Opera National du Rhin, Cité de la voix à Vezelay, les Music Series à NUI Maynooth et UCC Cork (Irlande) ainsi que la Biennale Música Hoje pour la nouvelle musique à Curitiba (Brésil). Elle a été artiste en résidence au Borneo Laboratory (Malaisie, 2017), au Theater Rampe Stuttgart (2020-21) et au Treasure Hill Artist Village Taipei (Taïwan, 2022 & 2024).

Christian Lozano Sedano

guitare

photo: Adam Starkie

Le guitariste mexicain Christian Lozano a obtenu son diplôme à l'Institut national des beaux-arts de l'Escuela Superior de Música de Mexico avec Leticia Alba. Il a continué ses études avec le guitariste Juan Carlos Laguna.
En 2006, il poursuit ses études en Suisse avec le guitariste Pablo Marquez à la Musik Academie de Bâle où il obtient le diplôme de concert et un master en pédagogie musicale. Pendant ses études, il a reçu la prestigieuse bourse d’excellence du gouvernement suisse.
Christian a participé à nombreux master-classes cours de musique ancienne, improvisation ainsi que de musique contemporaine avec Abel Carlevaro, Paul Galbraith, Stephan Schmidt, Hopkinson Smith, Eduardo Fernández, Magnus Anderson, Fred Frith, Marco Battaglia, Pablo Gómez et Mariano Martin.
Il a joué dans des salles de concert et des festivals au Mexique, en France, en Allemagne, en Suisse et au Paraguay. En 2006, il a fait la création paraguayenne du célèbre Concierto del Sur du compositeur mexicain Manuel M. Ponce avec l'Orquesta Sinfónica de Asunción.
Actuellement basé à Bâle, en Suisse, il se produit régulièrement en tant que soliste avec de nombreux ensembles de musique de chambre. Parallèlement au répertoire de guitare classique, Christian Lozano s'intéresse particulièrement à la musique des XXe et XXIe siècles. Christian est également professeur à la Musik Academie de Bâle.

 Finbar Hosie

électronique et adjoint artistique

©Claire Giraudeau

Finbar né en 1996 à Salisbury) est un compositeur franco-britannique basé à Strasbourg, France. Sa musique explore une approche radicalement phénoménologique du son et de l'expérience du concert. Oscillant entre fragilité et intensité viscérale, sa musique brouille les frontières entre l'électronique et l'acoustique. La narration, la poétique et un sens aigu du questionnement social et politique imprègnent le travail de Finbar. À travers des recontextualisations marquantes de textes littéraires, ainsi que l’intégration de la vidéo et de références à la culture populaire, sa musique embrasse la radicalité et le pathos. Ancrée dans le présent, elle évoque souvent un profond sentiment d’absurdité sur scène et au-delà. Ainsi, Finbar aspire à une musique nouvelle universelle et inclusive, résistante aux binarités de la vie contemporaine et à l’isolement souvent présent dans le milieu, offrant une multiplicité de points de vue pour tous les publics.

Outre un reflet maximaliste de la culture et de l'expérience contemporaines, l’œuvre de Finbar s'inspire également de son intérêt de longue date pour l'hybridation de la composition contemporaine, de la musique folklorique traditionnelle et de l'électronique. Une influence enracinée dans l'héritage folklorique qui a marqué le début de sa vie musicale et qui nourrit aujourd’hui fortement son travail, dans la lignée des traditions orales et narratives de la musique folklorique.

Les œuvres de Finbar ont été programmées dans des festivals et des institutions tels que Gaudeamus, ZKM Karlsruhe, Unerhörte Musik Berlin, Dublin Sound Lab, Constellation Chicago, Kunstraum Walcheturm Zurich, Neubad Lucerne et Impuls Graz, entre autres. Il a reçu des commandes soutenues par des organismes tels que le ministère français de la Culture, la Sacem et Diaphonique, et a été lauréat en 2023 du Fonds Diaphonique pour la musique nouvelle. Depuis 2022, il est membre actif du collectif strasbourgeois lovemusic, où il occupe des fonctions clés dans les domaines de la production, de la technique et de l'administration, en plus de son travail d'interprétation de l'électronique lorsqu'il se produit avec le collectif. Il est actuellement adjoint artistique et directeur technique. En mai 2025, le collectif lovemusic a reçu le prestigieux prix Ernst von Siemens Ensemble lors d'une cérémonie de remise des prix à Munich.

Au cœur de sa pratique se trouve une relation mutualiste avec les interprètes : une investigation soutenue de l'instrument à la fois en tant qu'objet sonore matériel et en tant qu'extension corporelle. S'inspirant de pratiques historiques, il prône l'expérimentation, la collaboration et une étroite réciprocité tout au long du processus de composition. Il en résulte une musique de tension physique, aux limites de la précision mécanique et des imperfections perçues de l'organique ou de l'humain.

Finbar est titulaire d’un Master du Conservatoire de Strasbourg, de l'Académie supérieure de musique de Strasbourg (HEAR) et de l'Université de Strasbourg. Il a obtenu sa licence à l'université Brunel de Londres, où il a reçu le Steve Thomas Memorial Prize for Composition lors de sa remise de diplôme.

 Sophie Wahlmüller

alto

Sophie Wahlmüller est altiste et pédagogue en Suisse.

Profondément engagée dans l'exploration de nouveaux paysages sonores, elle est un membre dévoué de plusieurs ensembles de musique contemporaine, dont le collectif lovemusic, Kubus Kollektiv et l'Ensemble Lemniscate. Elle est également altiste principale de Camerata49.

Depuis 2013, Sophie partage son amour de la musique en tant que professeur de violon et d'alto à la Regionale Musikschule Lyss, nourrissant la prochaine génération d'instrumentistes à cordes.


 Léa Legros Pontal

alto

© ©Augustin Laudet

Léa Legros Pontal, née en 1988 à Marseille, est altiste indépendante basée à Berne (CH). Après un Bachelor avec mention au CNSMD de Lyon (2012), elle poursuit ses études en Suisse avec un Master Performance et un Master Orchestre à la Haute École de Lucerne, auprès d’Isabel Charisius et Sylvia Zucker.

Passionnée de musique de chambre, elle a étudié avec le Quatuor Ysaÿe au conservatoire de Paris et a fait partie d’un trio flûte, alto et harpe pendant cinq ans. Elle se produit dans divers festivals aux côtés de musiciens comme Peter Bruns ou Franz Helmerson.

Léa a collaboré avec plusieurs orchestres, dont le Sinfonieorchester St. Gallen, le Basel Sinfonietta l’Orchestre National du Capitole de Toulouse ou les Festival Strings Lucerne. Elle est alto-solo de la Camerata Ataremac (Lausanne) et membre du Berner Kammerorchester.

La musique contemporaine et l’improvisation libre occupent une place centrale dans son parcours. Formée à l’improvisation à Lyon, elle a approfondi cet art auprès de Garth Knox, Joëlle Léandre et d’autres. En 2018 elle développe avec l’Ensemble Nachhall, au croisement du free-jazz et de l’improvisation, un marathon de 24 heures d’improvisation. Avec la saxophoniste Silke Strahl, elle fonde le Duo Klexs, lauréat du deuxième prix du Concours Nicati 2019, avec lequel elle crée de nombreuses pièces.

Depuis 2022, elle rejoint le collective lovemusic, spécialisé en création contemporaine, récompensé par le prix d’ensemble de la Fondation Ernst von Siemens 2025.

Par ailleurs, Léa s’intéresse à la musique ancienne et s’est formé à l’alto baroque avec Sabine Stoffer.

 Grace Durham

voix

Grace Durham est une mezzo-soprano née à Londres, dont la carrière couvre la musique baroque, le récital, l’opéra et la création contemporaine. Elle s’est formée à la Guildhall School of Music & Drama, au Royal Conservatoire of Scotland ainsi qu’au National Opera Studio. Elle a été membre du Junges Ensemble de la Semperoper de Dresde, et lauréate de plusieurs concours internationaux, notamment le Concours Cesti pour l’opéra baroque et le Concours international de mélodie française de Toulouse. Elle vit actuellement à Paris.

Avec lovemusic, elle a fait la création de Numbers de Philip Venables et The Word de Michelle Agnes Magalhaes, et interprété des œuvres de Luxa M. Schüttler, Claude Lenners et Jennifer Walshe. À la Semperoper de Dresde, elle a créé le rôle de Clare dans la première allemande de 4.48 Psychose de Philip Venables ; avec l’Ensemble Itinéraire, elle a incarné Miranda dans la création mondiale de Après la tempête : a songbook for Shakespeare de Michelle Agnes Magalhaes au Festival Messiaen. L’Ensemble Itinéraire l’a également sélectionnée comme l’une des six participantes de son Académie Opus One, un programme de mentorat destiné aux compositeurs débutants ; sa premiere composition, Night Vision, a été enregistrée par l’ensemble en 2025.

Ses derniers projets incluent le rôle-titre dans Ariodante de Handel au Royal Opera House de Covent Garden, le rôle de la Présentatrice dans une production immersive et inclusive de New Year de Tippett avec Birmingham Opera Company, et celui d’Énée dans une relecture exclusivement féminine de Didon et Énée de Purcell, mêlant théâtre parlé et danse, en tournée en France avec l’Ensemble Les Surprises. Elle s’est également produite en récital avec Christophe Rousset et Les Talens Lyriques à la Staatsoper de Berlin, aux Innsbrucker Festwochen der Alten Musik et au Festival Antiqua de Bolzano, ainsi que dans des programmes de récital allant de Haydn aux créations contemporaines avec le pianiste Edward Liddall, notamment à l’Opéra de Lille, l’Opéra de Montpellier, l’Opéra national du Capitole de Toulouse, au Musée d’Orsay et au Wigmore Hall de Londres.

Grace est diplômée en français et en italien de Clare College (Cambridge), a étudié le théâtre à l’Académie Aparté auprès de mentors tels que Nicolas Vaude, et monte régulièrement sur scène vêtue de ses propres créations.

 Niamh Dell

hautbois

©Gregory Massat

Niamh Dell est une hautboïste australienne qui prépare actuellement un doctorat en recherche sur la performance contemporaine à l'Université de York. Elle a terminé ses études de licence au Conservatoire de musique de Sydney et à l'Université de Western Australia en 2016. En 2017/2018, Niamh a participé au programme de master du International Ensemble Modern Academy à Francfort, en Allemagne, et elle a interprété une vaste gamme de répertoire contemporain tant orchestral comme de musique de chambre dans des lieux tels que la Kölner Philharmonie, la Hessischer Rundfunk, la Deutschlandfunk et l’Alte Oper Frankfurt.

Niamh s’est perfectionnée auprès de hautboïstes tels que Christian Hommel, Alexandre Oguey et Elizabeth Chee, et elle a participé à des master-classes avec des artistes tels que Alexei Ogrintchouk (RCO), Emanuel Abbühl (LSO) et Diana Doherty (SSO).

 Nina Maghsoodloo

piano/clavier

Nina Maghsoodloo est pianiste et performer, engagée dans une approche transdisciplinaire mêlant musique, performance et arts vivants. Son travail, au croisement de l’interprétation d’œuvres performatives, du théâtre musical, du répertoire gestuel et de l’improvisation, s’inspire des sciences humaines pour explorer des thématiques telles que l’identité, l’altérité et l’espace.

Cofondatrice et directrice de la compagnie AxisModula, elle collabore avec de nombreux·ses artistes, créateur·ices et ensembles en Europe et en Iran — notamment avec le Tehran New Music Orchestra — et fait partie du collectif lovemusic.

Son engagement social se traduit par une médiation artistique visant à utiliser l’art comme levier d’empouvoirement pour des publics variés.

Originaire de Téhéran, Nina a d’abord exploré les arts visuels avant de poursuivre ses études musicales en France, au Conservatoire de Cachan, puis à la Haute École des Arts du Rhin à Strasbourg, où elle obtient un Diplôme National Supérieur Professionnel de Musicien et un master en interprétation musicale. Lauréate du Tehran New Music Competition en piano solo et musique de chambre, elle cherche à relier ses acquis musicaux à une démarche artistique porteuse de sens.

 Célia Levasseur

administration de production

Photo: ©Adam Starkie

Ayant grandi dans un milieu artistique et culturel, Célia Levasseur s'est naturellement tournée vers l'accompagnement de Compagnies et de Collectifs artistiques dans la gestion de leurs projets.

Après des Licences de Droit et de Philosophie à l'Université Panthéon Sorbonne et des Masters d'Enseignement & Formation et d'Administration de la Musique et du Spectacle Vivant à l'Université Saclay, elle a mis ses compétences et connaissance à disposition de structures culturelles diversifiées (musique, théâtre, danse, production audiovisuelle, etc...).

Administration, production, gestion de projet, elle s'adapte aux besoins des artistes et compagnies qu'elle accompagne pour permettre de développer au mieux leurs projets. Attachée aux notions de droit des salariés, de justice sociale, de diversité et d'équité, elle choisit les projets pour lesquels elle travaille dans un esprit d'engagements politiques et de rayonnement de ceux-ci dans sa pratique comme dans celles des structures avec lesquelles elle travaille.